Sujets d’étude


Canon d'Avicenne

Les alchimistes arabes maîtrisaient la transformation des métaux.

A travers l’étude d’un remède simple, à base essentiellement de métaux , la maîtrise de l’utilisation et/ou de la transformation des métaux à des fins thérapeutiques par ces alchimistes a pu être mise en avant. contact : Véronique Pitchon, Pierre Fechter


Des métaux et des médicaments

De nombreux métaux ont été utilisés par les alchimistes et médecins passé. A travers l’étude de manuscrits issus de la période médiévale arabe, cette revue permet de faire un point sur leur utilisation pour des soins cutanés et sur les propriétés biochimiques qu’ils peuvent apporter. Contact : Véronique Pitchon, Pierre Fechter


Apprentissage automatique et analyse formelle de concepts

Que faire lorsque des dizaines voire des centaines de remèdes ont été identifiés? Comment sélectionner les plus pertinents? Et dégager des propriétés intéressantes? Le développement de l’informatique et de l’intelligence artificielle est essentiel pour guider nos pas. Contact : Florence Le Ber, Agnès Braud, Véronique Pitchon


Des remèdes aux molécules

L’étude d’un remède pour soigner des plaies cutanés a permis de mettre en avant la synergie entre les ingrédients, et d’isoler des molécules aux propriétés antibactériennes du même ordre de grandeur qu’un antibiotique de référence, l’érythromycine. En cours d’investigation. Contact : Sergio Ortiz, Catherine Vonthron-Sénécheau, Pierre Fechter


Vectorisation de molécules

Afin d’élargir le spectre d’action des molécules isolée, de limiter leur effets toxiques, des aptamères ciblant spécifiquement la bactérie pathogène Pseudomonas aeruginosa, responsable de nombreuses infections nosocomiales ou pulmonaires, sont développés. Un article sur l’identification des aptamères qui serviront au développement de cette stratégie est en cours de rédaction, (Mezouarhi, Abdallah et al.). Contact : Laurence Choulier


Conservation du ‘coeur’ d’un remède sur plus de 2000 ans

Nous avons également retrouvé des mentions de collyres dont les ingrédients principaux sont conservés sur une échelle de 2000 ans. En cours d’investigation. Contact : Muriel Labonnelie, Véronique Pitchon, Pierre Fechter